» La lumière est en moi. »
Voilà une croyance qui m’a toujours fait vibrer de contentement.
J’ai toujours aspiré à être une femme rayonnante !
Même mes soi-disant « fragilités » et « défauts » font alors partie de la Lumière.
La Lumière n’est-elle pas un phénomène ondulatoire qui inclue en elle des espaces de non lumière ?
Mes soi-disant « fragilités » et « défauts » sont donc inclus dans la Lumière, composent la Lumière, sont la Lumière.
Si je les rejette, je perds une partie de qui Je suis.
Si je les rejette, il n’y a plus de Lumière.
Lorsque je crois qu’en tout se trouve la Lumière, je développe un regard qui la recherche partout. D’aucuns diraient que je contemple le verre à moitié plein.
Je sors de mes compulsions à juger le monde, les autres et ce pauvre moi-même. Je m’amuse!
Pensez aux bébés qui s’illuminent et vous sourient parce qu’un instant ils ont vu la lumière autour d’eux et en vous.
Le bébé dans son innocence sans voiles et nuages, a reconnu la Lumière.
Il sourit aux anges. C’est-à-dire à moi, à nous.
« Au-dessus des nuages, le ciel est toujours bleu »
J’ai une amie qui voit spontanément la lumière en chacun.
Combien de personnes renfrognées a-t-elle retournées par son regard positif et son naturel enjoué.
Les humains contemplent leur reflet dans le miroir du monde et des autres.
Je ne peux pas détester le monde et les autres plus que je ne me déteste moi-même.
Lorsque je ne vois plus la lumière en l’autre et dans le monde, c’est qu’en miroir, je ne vois plus la lumière en moi.